Elixir a obtenu cette semaine la certification Qualiopi 

Que veut dire la certification qualiopi ? 

Qualiopi garantit que notre cabinet présente les gages d’efficacité, de professionnalisme et de rigueur souhaitables pour dispenser des formations de qualité pour l’ensemble des sujets que nous couvrons (marketing BtoB, expérience client, écoute client et innovation,vente et négociation, achats responsables …) 

Que recouvre la certification ?

La certification Qualiopi s’assure, entre autres, de la qualité de l’information communiquée sur nos programmes et sur les appréciations des participants, de l’adaptation des moyens pédagogiques aux objectifs, de la qualification des formateurs, et de notre processus d’amélioration continue. 

Qu’apporte t’elle à nos clients et partenaires ? 

Pour nos clients, c’est bien sûr la garantie d’une prise en charge financière par les organismes de formation. 
Pour les établissements dans lesquels nous intervenons en executive education (HEC, centrale supélec; sciences Po, Polytechnique ..) c’est l’assurance de bénéficier de contenus de formations efficaces et toujours réajustés pour répondre parfaitement aux attentes des participants.
Pour nos partenaires consultants, c’est l’assurance de bénéficier d’une expérience de plus de 15 ans dans la conception de programmes pédagogiques déjà dispensés avec succès auprès de milliers de participants. 

Faites nous part de votre projet, nous sommes experts du sur mesure !

Très contentes d’avoir été interviewées, en tant que coaches, dans cet article de Philosophie Magazine. 

Nous avons été interrogées, précisément, sur la critique actuellement faite à ce métier : ‘il agirait comme une injonction à « devenir une meilleure version de soi-même » derrière laquelle pointerait l’art de se transformer en son propre tyran ».
Assez d’accord avec cette critique, si le coaching n’est vu que comme un exercice individuel, s’il est perçu dans sa dimension purement psychologique. S’il est nombriliste, consumériste.
S’il porte avec lui cette illusion qu’on peut se « refaire » l’état d’esprit, comme on peut se « refaire » le nez, les seins, etc.

Mais pas d’accord lorsqu’il s’agit d’abord celui de bien faire avec les autres. Lorsqu’il s’agit justement de mettre en évidence les dimensions collectives qui entrent en ligne de compte dans son action quotidienne. Notamment au travail.
Dès lors, le rôle du coach moderne est précisément, selon nous, de lutter contre la vision « psychologisante » du monde moderne.

Et de remettre le collectif en perspective.
Il ne s’agit pas de chercher la meilleure version de soi-même, mais justement de pister les illusions d’optique permanentes qui voudraient qu’un collectif se résume à une juxtaposition d’égoïsmes et de « formidables versions de soi ».

Au fond, les coaches sont les péripatéticiens modernes, qui, tel Aristote, explorent ce qu’il en est de l’âme en marchant… très souvent à plusieurs. Nous marchons nous, au sens figuré, pas après pas. Mais, justement, ça marche !

Très intéressante réflexion. Avec la prise de position de Frances Haugen, la lanceuse d’alerte de #facebook , la question des « algorithmes qui échappent » à leurs créateurs arrive dans l’actualité.
Dans cet article, le point de vue des sciences de la gestion est intéressant : « oui, les algorithmes devraient nous rendre compte de leurs décisions ». Tout un pan de la #data -science pourrait bien s’ouvrir. A quand le reporting de l’algo à côté du reporting des équipes ?

https://lnkd.in/eAvmjr54

Un article intéressant, à propos du raisonnement scientifique. Et la différence entre induction et déduction. Au fond, cette question devient clé à l’heure où les algorithmes d’intelligence artificielle savent raisonner d’une façon et non de l’autre. Dans une ambiance de foire aux biais cognitifs, réfléchir sur nos façons de raisonner vs celles de nos machines devient essentiel.
Il y a des contextes pour le raisonnement par déduction et d’autres pour le raisonnement par induction. Passionnant !

Principes Actifs n°12

Lisez-le ici : https://lnkd.in/eCGuPeVZ
Abonnez-vous ici : https://lnkd.in/eueu7G4

Très intéressant, cette analyse de la résilience …. via le TSR (total shareholder recovery).
https://lnkd.in/euZZfMiw

Autrement dit, plutôt que de définir un concept flou (la résilience) par des grandes idées, le Boston Consulting Group le définit par ce que le capitalisme a de plus objectif : le retour sur investissement pour l’actionnaire. Et vous savez quoi ?

Les entreprises qui ont été les plus résilientes face à la crise covid sont celles qui ont surfé à la vitesse V sur … des stratégies long terme préparées depuis longtemps !
Comme si elles avaient profité de la crise pour appuyer soudain sur le bon bouton : celui qui enclenchait un process préparé depuis longtemps.

Dans une période où s’annoncent d’autres crises (notamment celles liées au réchauffement climatique), la leçon est intéressante. L’urgence serait-elle au long terme ?

Peut-on mettre en avant sa politique RSE et produire du plastique ? demande un article récent sur l’engagement sociétal des entreprises.
Sous-entendu : « si ton entreprise produit des matières considérées comme polluantes par les bobos parisiens, va donc plutôt cueillir des fraises, tu es has-been côté engagement. »

Permettez-nous d’être totalement en désaccord. A une telle question, notre réponse, à Elixir-conseil, est clairement « oui, bien sûr que l’on peut ! ». 
Ce genre de naïvetés (la plastique est mauvais en soi, mieux vaut le remplacer du verre) a déjà vu son compte réglé depuis au moins une trentaine d’années. 

Le ré-enfourcher en 2021 est plutôt un retour en arrière qu’un progrès.
Les spécialistes des analyses de cycle de vie avaient en effet déjà étudié dès les années 90 que remplacer, par exemple, le plastique des bouteilles d’eau par du verre, aurait un impact environnemental terriblement négatif (le poids de ce qu’il y a à transporter serait multiplié à chaque fois par 1,5 au moins). 

L’engagement RSE est donc, au contraire, à notre sens tout particulièrement important aujourd’hui, précisément de la part de ce type d’entreprises. L’engagement d’une entreprise produisant du plastique vers l’économie circulaire ou l’éco-conception est précisément ce dont le monde a besoin ! C’est là que l’on peut obtenir un engagement puissant, capable de mobiliser les intelligences et les volontés d’innover les plus puissantes. 
Si l’engagement doit consister à enfourcher n’importe quelle naïveté pour suivre les dernières tendances de l’opinion, bref, si ce n’est que de la comm’, on ne mènera les entreprises qu’à une nouvelle forme de mise sous stress et de burn-out, tant les modes changent tout le temps. 

L’engagement doit consister en un combat substantiel, cohérent, réaliste et mobilisateur. Même s’il doit se confronter, parfois, à de grandes naïvetés. Les naïvetés s’estomperont, pas le combat. 

A lire ce post de Thomas Misslin https://lnkd.in/e-TWM3z

A lire d’autant plus qu’il parle de « principe actif » une notion qui nous est chère chez Elixir-Conseil puisque Principes Actifs est le nom de notre magazine (voir ici pour s’abonner : https://lnkd.in/ehR9T7W)

Coïncidence mise à part, cet article fait réfléchir. Notamment sur le lien qu’il doit y avoir entre la mise en oeuvre de ce principe actif d’authenticité dans la transformation de la culture d’entreprise … et la prise de décision effective et quotidienne.
Celle dont Thomas Misslin parle dès la première phrase en citant Olivier Sibony : « une réunion de décision qui se passe bien est une réunion où il n’y a pas de débat ».

La question suivante devient, nous semble-t-il : Quels autres « principes actifs » doivent entrer en action lors d’une « prise de décision » ?
Vous avez 4 heures, dit la blague connue.
Mais… il va sans doute nous en falloir un peu plus que ça.